Les 20, 21, et 22 novembre se tenait le salon Educatec-Educatice 2019, Porte de Versailles. Notre équipe a assisté à un atelier de retour d’expérience sur l’usage des jeux sérieux.

Cette conférence a été organisée par Serious Factory, ce qui montre leur volonté de se positionner comme des experts des jeux sérieux dans le milieu de l’éducation. 

Deux experts étaient réunis pour l’occasion : 
–    Patrick Gadat, Edtech & Digital Learning expert chez Serious Factory, 
–    accompagné de Yvonnick Bernard, digital learning manager de l’organisme de formation AFTEC (Association pour la Formation Technologique dans l’Enseignement Catholique) 

Les deux intervenants nous ont présenté le projet « trust and trade », destiné à former les futurs commerciaux en filière BTS NDRC (Négociation et Digitalisation de la Relation Client), sur les compétences en relation clients. Par l’utilisation de la réalité virtuelle, un jeu de négociation se met en place où l’étudiant se retrouve en face d’un prospect et doit mener à bien une négociation.

Ils nous ont présenté de manière détaillée ce projet en partant du contexte et des enjeux, jusqu’au process de création et de déploiement d’un serious game.


    
Le contexte et les enjeux du projet


Les instigateurs de ce jeu sont partis du constat que les entreprises étaient réticentes à envoyer les jeunes diplômés tôt sur le terrain. Les étudiants ont besoin d’acquérir tôt de réelles compétences professionnelles et de valoriser l’acquisition de ces compétences auprès des entreprises.
Jusqu’à présent, les jeux de rôles en classe étaient la solution proposée méthode qui présente différents problèmes :
–    La crainte du jugement des autres
–    L’implication faible des observateurs ; et en particulier dans le cadre scolaire, des autres apprenants
–    Un ressenti de partialité : un élève est choisi de manière arbitraire pour se mettre devant toute la classe.

La déclinaison sous forme de jeux sérieux en classe a pour but de palier à ces problèmes, notamment en évacuant la peur d’essayer : l’élève se retrouve en face d’un intervenant fictif pour échanger. De plus, l’implication simultanée de chaque élève génère des retours plus personnels et plus riches.

La démarche


L’AFTEC s’est associée à Serious Factory en suivant un processus de création suivant :
–    Design du dispositif pédagogique
–    Scénarisation du jeu
–    Intégration dans le logiciel
–    Tests et améliorations
–    Déploiement
–    Maintenance et correction

Finalement, cela donne un jeu qui suit un processus pédagogique clair et qui permet même d’analyser le « non-verbal ». En effet, le client virtuel peut adapter ses sentiments (colère, joie, anxiété), sa gestuelle et sa voix en fonction de l’intervention de l’élève, au travers d’une intelligence artificielle qui analyse ce qui est dit par l’élève. 

Yvonnick Bernard conclut par un bilan très positif de la mise en place de ce serious game et a notamment insisté sur la plus grande implication des élèves, qui se montrent plus volontaires pour participer à ces jeux de rôle. Leur montée en compétences a ainsi été accélérée.

Cette conférence présente un exemple de serious game réussi pour développer les compétences des élèves, et qui permet d’envisager d’autres utilisations dans d’autres domaines. Le numérique permet en effet de s’affranchir de certaines réserves ou timidités personnelles pour se lancer dans des formats d’apprentissages qui n’impliquent pas le regard des autres : c’est une réelle perspective pour la réussite de tous les élèves.

Mais ce qui est vrai de façon générale nous laisse tout de même un peu perplexe pour cette discipline d’enseignement : dans le domaine de la relation client, il est essentiel aussi d’apprendre à surmonter le regard des autres, car le futur prospect sera au moins aussi critique qu’un camarade de classe !

Venez assister au partage d’expérience autour du thème : Le numérique au service des pédagogies innovantes : retours d’expérience d’enseignants, jeudi 21 novembre à 16h30, salle de conférence n° 1

Les outils numériques doivent permettre de favoriser la réussite éducative et de réduire les inégalités.

De nouvelles méthodes pédagogiques permettent d’inclure, de personnaliser, de différencier et de créer de l’appétence. Comment le numérique peut-il de faciliter ces pratiques pour atteindre ces objectifs tout en y passant le moins de temps possible ?

Venez échanger et partager avec des enseignants qui appliquent ces méthodes et utilisent le numérique au quotidien.

Ce partage d’expérience sera animé par Pierre Schmitt, co-fondateur de LDE et Directeur de l’innovation 

Intervenant(s)

  • Madame Aude DUBOIS, Membre de « Inversons la Classe », Formatrice et prof de français, actuellement en poste au collège dans les Yvelines, donc aventurière en pédagogies, exploratrice du numérique en classe et chercheuse en enthousiasmes ! , INVERSONS LA CLASSE
  • Madame Cécilia PINTO, Co-fondatrice de la communauté Eduvoices, professeur d’espagnol sur Lille, Ingénieure Pédagogique Multimédia , EDUVOICES
  • Monsieur Ahmed MADKOURI, Enseignant en économie – gestion, utilisateur de la plateforme de création de cours POPLAB
  • Monsieur Jean-François CERISIER, PROFESSEUR DE SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION , UNIVERSITÉ DE POITIERS

Tous les lycées 4.0 se fournissent en manuels scolaires sur le catalogue de LDE, installée à Molsheim et qui a remporté l’appel d’offres de la région Grand Est.

Pierre Schmitt (à gauche) et Frédéric Fritsch proposent des ressources dématérialisées et toujours imprimées.  Photo L’Alsace /Jean-Marc LOOS

La discrète librairie LDE, installée à Molsheim, se présente comme le leader français dans la distribution de manuels scolaires, imprimés ou numériques, et « cheville ouvrière » du dispositif lycée 4.0, selon le terme de son directeur général Frédéric Fritsch. Cette PME d’une soixantaine de personnes a remporté l’appel d’offres sur trois ans – peut-être quatre – de la région Grand Est, pour 1,5 M€ (millions d’euros) en 2017 et plus de sept cette année. Elle met à la disposition de toutes les filières non seulement les livres de l’ensemble des éditeurs, en version dématérialisée, mais aussi des exercices d’entraînement en langue, des encyclopédies… « Nous constituons le  catalogue avec les académies de la manière la plus large possible pour respecter la liberté pédagogique des enseignants », précise Pierre Schmitt, le directeur technique.

Ce faisant, LDE a aussi endossé un nouveau rôle de conseiller technique, alors qu’au début les bugs techniques étaient courants : problème de compatibilité entre les applications et le réseau, bande passante insuffisante… « Nous avons beaucoup travaillé auprès des établissements, en collaboration avec les délégués académiques au numérique et les personnels de l’administration. Il n’y a plus aucun problème aujourd’hui qui ne puisse être rapidement résolu », assure Pierre Schmitt. Treize assistants techniques ont été embauchés en renfort, de septembre à décembre.

Un facteur déclenchant

Ce vaste partenariat avec la région Grand Est, a fait croître LDE qui a dédoublé à la fois ses effectifs et son chiffre d’affaires, passé, depuis 2012, de 30 à 60 M€. Le numérique représente désormais 40 % de son activité, contre même pas 1 % il y a quatre ans. « Cela a été un facteur déclenchant » qui a aussi fait « monter l’équipe en compétences, sur les plans technique et organisationnel », constate Frédéric Fritsch. « Personne n’avait mené un déploiement d’une telle ampleur, nous savions qu’il y aurait des plâtres à essuyer. Nous avons traduit les besoins et proposé des solutions de mise en œuvre en même temps que les choses se faisaient. »

LDE a 1 900 références de manuels scolaires à son catalogue.   Photo L’Alsace /Jean-Marc LOOS

Après la phase technique, LDE voit arriver celle « de l’appropriation réelle et de l’amélioration des usages ». Elle n’est pas prescriptrice dans les choix des enseignants, mais il lui est demandé, par la région et les rectorats, de mettre en avant les ressources les plus interactives. « Cela fait des années qu’on n’en est plus au simple PDF [format informatique de présentation d’un document] ! La demande s’accélère, les éditeurs y travaillent. Actuellement, ce sont des versions homothétiques des manuels imprimés, enrichies en son, en vidéo, en exercices interactifs… », détaille Pierre Schmitt. L’avenir, ajoute-t-il, c’est l’individualisation des apprentissages ».

Une offre exhaustive

LDE (pour Librairies des étudiants, puis Librairies de l’éducation) a été créée en 1996 à Strasbourg par Frédéric Fritsch et Daniel Francou, rapidement rejoints par Pierre Schmitt et Michel Hussherr. D’abord librairie classique, elle s’est mise à proposer aux associations de parents d’élèves un service de commandes individualisées clé en main, ainsi qu’un logiciel pour la gestion des bourses aux livres. « Rapidement et en permanence, nous avons ajouté des services à valeur ajoutée informatique », précise Frédéric Fritsch. « Quand le scolaire numérique est arrivé sur le marché en 2013, nous avions les compétences techniques et nous avons été un des tout premiers autorisés à distribuer ces livres. »


Aujourd’hui, LDE présente à son catalogue 1 900 références de manuels scolaires, « ce qui représente l’exhaustivité de l’offre existante ». Elle a des clients institutionnels, comme la région Grand Est, qui a « courageusement ouvert la voie », rejointe par l’Île de France, l’Occitanie et, dans une moindre mesure, la Nouvelle Aquitaine et le Centre-Val de Loire. Elle travaille aussi pour la chaîne Arte (Educ’Arte) et plus de 1 800 établissements – en dehors des appels d’offres -, tels les lycées français de Singapour ou de New-York. PME moderne, LDE se veut aussi engagée dans le développement durable et veille au respect de la mixité comme de l’inclusion sociale.

Le salon Educatec-Educatice, salon incontournable des métiers et de l’innovation éducatifs, ouvrira ses portes du 20 au 22 novembre. Nous serons présents, stand G22.

Comme chaque année LDE, premier libraire scolaire numérique de France, y sera représentée. Cette présence au cœur de l’événement nous permettra de détecter pour vous les dernières innovations et outils pédagogiques.

Il ne vous sera peut-être pas possible de visiter ce salon parisien… mais vous pouvez compter sur nous pour vous faire découvrir ses exposants et leurs solutions : notre équipe en aéropage important pourra assister à la plupart des conférences et ateliers, et partager avec vous ses découvertes !

Il vous suffit de cocher les cases qui vous concernent, nous serons ravis de nous poser avec vous les questions qui vous intéressent et vous ferons un compte-rendu écrit après le salon.


…Et bien entendu, vous pouvez aussi nous retrouver sur notre stand si vous avez la chance d’être à Paris : nous serons sur le stand G22 !

L’université d’été Ludovia (16e édition) vient de fermer ses portes.
Cette année encore, Ludovia a été un lieu propice aux échanges entre enseignants, centrés sur le thème « Intelligences et représentations du numérique en éducation » avec pas moins de 180 intervenants, enseignants, psychologues, chercheurs, élus, représentants de collectivités locales, entreprises partenaires., etc.

Ludovia a été, pour LDE, l’occasion de présenter PopLab, une nouvelle plateforme numérique (en bêta-publique) de création et de partage du savoir.

PopLab est une plateforme numérique qui permet aux enseignants de préparer, organiser et partager leurs cours.


Préparer en utilisant les ressources à leur disposition, qu’elles provienent d’internet, de leur propre création ou bien du moteur de recherche intégré, qui permet de faire des recherches parmi plus de 100000 ressources pre-selectionnées par une équipe de professeurs-documentalistes
 

Organiser, grâce à une attention poussée portée sur l’expérience utilisateur, qui permet à l’enseignant de structurer simplement ses cours

Partager en utilisant le module de partage qui permet de pousser les cours des enseignants à leurs élèves, à leurs collègues ou bien au reste du monde.

Nous sommes également très heureux des retours très positifs des visiteurs de Ludovia qui ont pu, lors des présentations de notre plateforme, voir concrètement comment PopLab pouvait les aider dans leur pratique quotidienne.

La communauté PopLab est née à Ludovia et grandit déjà de nouveaux utilisateurs quotidiennement 🙂

Si vous n’avez pas pu y assister, voici la vidéo de présentation tournée à Ludovia

Le CLIC (congrès des classes inversées et pédagogies actives) s’est tenu en juin dernier à l’université Pierre et Marie Curie à Paris. Il a rassemblé pendant 3 jours des enseignants, chercheurs, partenaires, autour des pédagogies actives

Le CLIC (congrès des classes inversées et pédagogies actives) s’est tenu en juin dernier à l’université Pierre et Marie Curie à Paris. Il a rassemblé pendant 3 jours des enseignants, chercheurs, partenaires, autour des pédagogies actives. Le CLIC était organisé par l’association « Inversons la classe » et avait pour thème : la ​diversité des apprentissages pour favoriser la réussite de chaque élève.

« Inversons la classe » est une association de bénévoles qui promeut les pédagogies actives telles que la classe inversée et qui diffuse de l’information sur ces sujets de façon à faciliter les échanges entre enseignants et au sein des établissements scolaires.
Nous avons participé à l’édition 2019 du CLIC qui a permis à plus de 700 enseignants de partager leurs expériences, de discuter autour de tables rondes et de s’enrichir des interventions de chercheurs tels que Vanda Luengo (enseignant chercheuse et responsable de numeri’lab), Marcel lebrun, (professeur en technologie et conseiller pédagogique du louvain Learning lab) et bien d’autres.

Voici quelques thèmes abordés lors des ateliers :
Une classe inversée sans numérique, proposer une diversité de choix pour favoriser une diversité d’apprentissage,  développer l’autonomie et la coopération en classe flexible, etc.

Force est de constater l’engagement profond des enseignants que nous avons rencontré pour les pédagogies qui placent l’enseignant à coté de l’élève et non plus en face de ce dernier.

Les ateliers de partages d’expérience animés par des enseignants volontaires ont réunis de nombreux visiteurs qui ont pu échanger sur leurs pratiques pédagogiques.

Nous avons également organisé un atelier, lors du CLIC, dont l’intitulé était « Et si nous transformions vos rêves en outils? ».
Nous remercions les enseignants qui ont participé à ces ateliers. Les échanges que nous avons eut ont été riches d’enseignements sur leurs pratiques du numérique en classe et leurs souhaits pour un outil qui se mette à leur service et au service des élèves.

Epopia est une maison d’édition créée en 2014 dont la mission est de transmettre le plaisir de lire et d’écrire aux enfants de 5 à 10 ans.
Motivez votre classe et donnez du sens à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture avec un support original clé en main.

5 points forts :
– lancer un projet de classe inoubliable
– fédérer sa classe
– motiver ses élèves
– transmettre le plaisir de lire et d’écrire
– en utilisant le jeu pour enseigner

Mélodie : « Aventure commencée cette semaine avec mes CE2. J’avais préparé le terrain avant les vacances avec un premier texte sur le royaume et certains m’ont demandé si on allait encore lire des textes « comme ça ». Nous avons fait la lecture des premières lettres et les enfants ont hâte de commencer l’écriture des réponses. C’est un très beau projet qui motive beaucoup la classe! Comme eux, j’ai hâte de poursuivre 😄. »

 » 2ème lettre reçue jeudi😁 !! Je l’ai ouverte en direct avec mes élèves et quelle folie ! L’enveloppe faisait du bruit donc les élèves ont fait leurs hypothèses quant à l’objet qui s’y trouvait. Nous avons juste lu le nom des personnages qui nous ont écrit mais il fallait tout lire tout de suite!! Ils ont maintenant hâte de rentrer de vacances pour lire les lettres en détail.
Quel plaisir de les voir si enthousiastes et motivés pour un « travail » de lecture et d’écriture. « 

Gwenaëlle : « Découverte de l’article et simulation d’un premier courrier avant le véritable courrier !
Les enfants sont à fond : mais comment on va devenir roi ou reine ? Je peux être reine maîtresse ? Pourquoi notre classe ??
Un tas de questions et on attend avec impatience la suite enfin le début !!!
😍
Vite vite !!! »

Marie-Pierre : « Grande question du jour  » maîtresse on a reçu du courrier pendant les vacances ? Oh la la j’espère qu’on a reçu du courrier ! Allez dis maîtresse est ce qu’on a reçu du courrier ? »
Bon ben maîtresse a craqué et a montré le courrier aujourd’hui alors qu’elle avait prévu d’attendre demain pour raison de piscine aujourd’hui… ☺️ »

Les ressources numériques permettent de développer des pratiques pédagogiques nouvelles qui renforcent l’interactivité des cours. En effet, ces ressources favorisent le travail des élèves en collaboration et en autonomie. LDE propose des séances de formation à ces ressources.

Avec le catalogue numérique le plus étendu du marché, LDE est le premier libraire français de manuels et ressources numériques scolaires pluri-éditeurs. Ces ressources se retrouvent dans notre catalogue numérique avec, pour chacune, une fiche produit détaillée.

Pour en découvrir plus sur ces ressources et en visualiser le fonctionnement, nous vous proposons d’assister à des séances de formation, réalisées par notre spécialiste des ressources numériques. ces séances de formation pour les enseignants  seront l’occasion pour vous de poser toutes vos questions.

Nous organisons régulièrement ces séances de formation aux ressources numériques sur des thématiques spécifiques et dédiés à un niveau, comme par exemple l’apprentissage des langues au collège et lycée, l’accompagnement personnalisé en primaire…

Nous pouvons également organiser une séance spécifiquement pour votre établissement à l’heure qui vous conviendra le mieux pour convier tous vos enseignants.

Nous avons demandé à 7 personnes (enseignants, proviseurs, chercheurs, …) de nous parler du numérique à l’école, dans leur utilisation au quotidien, pour avoir ensuite leur retour plus global sur les apports du numérique dans l’apprentissage des élèves.

Jean-Pierre Gallerand, enseignant à la retraite et créateur de plus de 70 logiciels et expériences virtuelles, Yves Le Gal, proviseur adjoint au lycée Le Mennais à Ploermel, Pierre Undreiner, proviseur du collège Saint-Joseph à Rouffach, pascal Freund, proviseur du lycée Jean Rostand à Strasbourg, Michèle Drechsler docteur en sciences de l’information et de la communication, Marie-Caroline Missir, directrice du développement de Digischool, Damien Scimeca, professeur certifié de physique-Chimie et membre de l’association « Inversons la Classe ! » ont tous en commun de réfléchir à l’usage du numérique à l’école et à sa place dans l’apprentissage des élèves de collèges et de lycées.

Leurs témoignages sans tabous et langue de bois nous éclairent sur le devenir de cet outil au sein de l’école.


Il en ressort que le corps enseignant dans sa grande majorité est prêt à utiliser le numérique, pour peu qu’il puisse avoir un vrai apport pédagogique dans sa pratique quotidienne. La « peur » de l’usage de la technologie n’est pas un élément saillant des discussions que nous avons eu. Ce point est certes important mais perçu comme un passage obligé de maitrise d’un outil à l’instar d’autres outils qui sont venus bouleverser l’école : l’usage de l’ordinateur, les vidéoprojecteurs qui ont amené le TBI (tableau virtuel interactif), …

Loin de ce sentiment, nous avons ressenti, dans tous les interviews, « une réelle excitation devant le champ des possibles » ouvert par le numérique au service de l’humain et non comme une fin en soi.

La technologie permet aujourd’hui de mettre en place des « parcours » qui permettent à l’enseignant de passer « d’une logique de face à face à une logique de côte à côte ».

Les 9 et 10 avril, s’est tenu à la cité mondiale de Bordeaux, le colloque Educ@Dieu, organisé par l’Enseignement Catholique de Gironde.

LDE ainsi que ses partenaires Enteis et MilliWeb, étaient présents lors de ce colloque pour présenter une solution globale et unifiée, aux établissements souhaitant mettre en place un projet pédagogique numérique.

Mettre en place un projet numérique est un vaste sujet qui porte des enjeux structurants pour l’établissement scolaire qui le porte : Installation des infrastructures, gouvernance et engagement des équipes, choix, financement et gestion des matériels, choix et déploiement des ressources pédagogiques numériques, formation de l’équipe pédagogique à ces ressources, …  

LDE accompagne et conseille les établissements qui le souhaitent, à travers un diagnostic numérique, pour leur permettre de bien structurer les différentes étapes d’un tel projet.  

A l’issue de ce diagnostic, LDE et ses partenaires est en capacité de proposer un accompagnement global au développement du projet numérique. 

Vous avez été nombreux à nous poser des questions très précises sur tous ces sujets et vous remercions pour votre intérêt envers les solutions que nous avons mises en place pour répondre à vos besoins. Cela nous conforte dans l’idée d’apporter une solution unifiée qui vous permet de vous focaliser sur l’essentiel : la réussite de vos élèves !